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CEFA Paris - Actualités franco-allemandes
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L'UE soutient pleinement le partenariat du G7 pour les infrastructures mondiales et l'investissement, pour une raison toute simple. Nous avons toujours été aux avant-postes de la coopération avec les pays en développement. 46 % de l'aide mondiale au développement proviennent de l'Union européenne. Et chaque année, près de 70 milliards d'euros servent à financer le renforcement de la paix, de la prospérité et du développement.
Le G7 est attaché aux valeurs, aux normes, à la transparence et aux principes, tout comme l'UE. Nous mettons l'accent sur des investissements intelligents, propres et sûrs dans des infrastructures durables ainsi que dans des infrastructures numériques et en faveur du climat, de l'énergie et des transports. Nous investissons également dans les capacités et le potentiel des citoyens, dans leur éducation et leur santé, ainsi que dans la recherche de pointe.
L'UE est un projet de paix et de prospérité. Elle est ancrée dans l'État de droit et le multilatéralisme. Nous rassemblons nos partenaires autour de normes élevées en ce qui concerne les droits de l'homme, les droits sociaux et les droits des travailleurs.
Notre partenariat du G7 vise à promouvoir des infrastructures durables, inclusives, résilientes et de haute qualité, sur les marchés émergents et dans les pays en développement, comme en témoignent les investissements réalisés par l'UE dans la production de vaccins et de médicaments, en particulier dans les pays africains.Les banques multilatérales de développement (BMD) joueront un rôle de catalyseur dans la mobilisation des capitaux privés, parallèlement au soutien public que nous fournissons.
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Zelensky demande aux dirigeants du G7 de redoubler d’efforts face à Moscou Le sommet se tient jusqu’à mardi dans les Alpes bavaroises.
Au programme : la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les pays émergents, les approvisionnements alimentaires et la flambée des prix de l’énergie.
Depuis l’annexion de la Crimée par la Russie, en 2014, le G8 est redevenu le G7, et le président russe, Vladimir Poutine, n’est plus présent sur la traditionnelle photo de famille qui réunit, chaque année, les dirigeants des sept pays les plus industrialisés (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni) et de l’Union européenne (UE). Mais le chef du Kremlin s’est rappelé à leur bon souvenir, dimanche 26 juin, en faisant exploser quatre missiles à Kiev quelques heures avant l’ouverture du sommet du G7 dans le sud de l’Allemagne. Ces frappes russes, les premières depuis plusieurs semaines contre la capitale ukrainienne, ont touché un quartier d’habitation, faisant un mort et six blessés, dont une fillette de 7 ans. Elles relèvent de la « barbarie », a condamné le président américain, Joe Biden, en retrouvant ses homologues.
Même sans ces nouveaux bombardements contre Kiev, la guerre en Ukraine aurait occupé l’essentiel des discussions de ce sommet, qui se tient jusqu’à mardi dans le cadre bucolique du château d’Elmau, au cœur des Alpes bavaroises. Un sommet dont le but est de resserrer les rangs au sein du camp occidental, alors que la prolongation du conflit a pu faire apparaître des divergences sur les objectifs du soutien apporté à Kiev et sur les modalités d’un éventuel cessez-le-feu. Ce dernier paraît inaccessible à ce jour en raison de l’intensité des combats dans le Donbass, où les Russes viennent de prendre le contrôle de la ville de Sievierodonetsk. Lundi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, s’est entretenu à distance avec ses homologues occidentaux. Il leur a dit espérer que la guerre cesse d’ici à la fin de l’année, redoutant que l’hiver fige les positions. Et demandé d’intensifier les livraisons d’armes et les sanctions contre la Russie. Pour le chef de l’Etat ukrainien, l’heure n’est pas venu d’engager des négociations, alors que les combats font rage dans le Donbass. Les membres du G7 ont promis un peu plus tard de « continuer à fournir un soutien financier, humanitaire, militaire et diplomatique (...) aussi longtemps qu’il le faudrat. »
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L'Allemagne, premier exposant étranger au salon VIVA TECHNOLOGY 2022.
Le French-German Tech Lab a présenté la semaine dernière à Vivatech les derniers développements, notamment dans les domaines de l'intelligence artificielle, de la e-santé, de l'industrie 4.0, de l’Enterprise solutions, de la mobilité, du Future of Work, de la cybersécurité, de la Tech on the edge et des greentech, avec environ 100 startups, centres de recherche et institutions.
La AHK Frankreich / Chambre Franco-Allemande de Commerce et d'Industrie (CFACI) a initié ce stand commun franco-allemand de 310m².
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Symbio, co-entreprise de Faurecia et Michelin dans le domaine de l’hydrogène, et Schaeffler, ont signé un accord pour la création d’une joint-venture (50:50) pour produire des plaques bipolaires de piles à combustible. La JV sera située à Haguenau, en Alsace, (France).
Elle combinera le savoir-faire de trois fournisseurs automobiles européens majeurs et d’un leader mondial de la technologie des piles à combustible qui, ensemble, voient un grand potentiel dans le développement de l’économie de l’hydrogène. C’est également un partenariat franco-allemand qui vise à renforcer la chaîne de valeur européenne de la mobilité hydrogène.
La société, opérera sous la marque Innoplate d’ici la fin de l’année. Elle permettra d’accélérer la production de plaques bipolaires de nouvelle génération pour l’ensemble du marché des piles à combustible PEM (membrane échangeuse de protons). Ce développement améliorera les performances et la compétitivité pour ses clients en réduisant les coûts.
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Investissements étrangers : la France reste le pays le plus attractif d’Europe et creuse l'écart avec le Royaume-Uni et l'Allemagne
Le nombre de projets d'investissements étrangers en France a grimpé en flèche en 2022 (+237) après le plongeon de 2020. Il dépasse même son niveau d'avant-crise, selon le dernier baromètre EY. La France fait ainsi la course en tête devant le Royaume-Uni (993) et l'Allemagne (841).
Le nouveau quinquennat Macron démarre sur une note positive malgré les conséquences dramatiques de la guerre en Ukraine. Après le marasme de 2020 et le fort rebond économique de 2021, le nombre de projets d'investissements étrangers a atteint un sommet l'année dernière pour s'établir à 1.222 contre 985 en 2020 et 1.197 en 2019. Sur les dix dernières, il s'agit d'un sommet, selon le dernier baromètre EY dévoilé ce mardi 31 mai. "Le nombre de projets d'investissements a augmenté en Europe et de manière substantielle en France. La France a bénéficié d'un effet rebond en 2021 car elle avait été plus touchée que les autres pays" a expliqué à La Tribune Marc Lhermitte, responsable au niveau mondial du conseil des activités liées à la compétitivité et à l'attractivité. Il y a une reconnaissance des investisseurs étrangers sur les efforts de la France en matière de compétitivité", poursuit-il.
De son côté, Christophe Lecourtier, directeur général de Business France, l'agence en charge de l'attractivité, estime que "ces résultats confirment la première place de la France. Alors que la France était troisième en 2017, elle occupe la première place du podium depuis trois ans. Il y a eu beaucoup plus de projets qu'entre 2012 et 2017".